La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1557)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1556) -
Chapitre 21 : Champagne à volonté ! -
- Fais le service, ma pute !...
Cétait certain, jétais entouré de Dominants du genre prédateurs, des fauves affamés jaugeant la proie livrée, appréciant lobjet donné en pâture. Jallais subir, ils allaient me consommer, me dévorer. Ma main tremblait sous ce plateau, alors que je mapprochais de Monsieur le Marquis. De son index replié, Il soulevait mon menton pour que mon regard se porte dans le sien. Il me souriait, un sourire à la fois carnassier et immoral, un sourire énigmatique et sibyllin ! Ses yeux bleus et profonds exprimaient de la compassion mais aussi une forme de dureté et dexigence. Je comprenais alors quil laisserait faire les choses, quil ne sopposerait en rien à ce que jallais devoir encaisser et éprouver. Il me relâchait après une petite tapette sur ma joue, je baissais la tête respectueusement, lui faisant alors comprendre à mon tour ma totale dévotion et mon dévouement strict. Je me dirigeais alors vers cette femme brune, avec une poitrine opulente dune cinquantaine dannées et lui tendait le plateau sur lequel les verres en cristal sagitaient. Avant même de se servir, elle attrapait mon téton droit, le pressait légèrement entre son pouce et son index, tout en me chuchotant à loreille :
- Il va falloir travailler tes tétines, ma petite putain
moi jaime les mâles avec des gros tétons qui pointent bien ! Mais ne tinquiète pas petite lope, je saurais men occuper !
La Domina en restait là, prenait son verre. Ensuite, je me dirigeais vers cette autre femme blonde, assez petite et frêle. Elle, sans complexe, passait sa main sous mon jockstrap et attrapait mes couilles quelle comprimait âprement après les avoir soupesé. Je restais bouche grande ouverte, respiration coupée
- Ne te préoccupe pas de ce que je te fais
concentre toi uniquement sur ce plateau et ces verres remplis de champagne.
Cette Dominatrice tirait un peu plus encore sur mes couilles mobligeant à plier outrageusement les jambes, je voyais les verres sagiter dangereusement... Elle me relâchait enfin
javais évité la catastrophe de peu. Puis je passais à cette troisième femme beaucoup plus grande que les deux autres, ces ongles longs et vernis couraient depuis la base de mes oreilles, descendant sur ma nuque, puis mon cou jusquà mes épaules, très lentement. Cela aurait pu être sensuel, sauf que ces griffes mordaient attentivement mes chairs. Elle prenait un verre sans un mot à mon égard. Je me déroutais alors vers Monsieur Montambert.
- Tu me serviras en dernier, la pute.
Je passais donc vers cet homme trapu dune quarantaine d'années, plus petit que moi. Ces doigts effleuraient sur mes lèvres puis simmisçaient dans ma bouche. Il mécartait les babines, vérifiait attentivement ma dentition, comme à la terrible époque effroyable des négriers. Yeux fermés, je me laissais faire avec cette impression de nêtre quun animal asservi, placé sur un marché à bestiaux pour y être vendu. Son doigt allait plus profondément dans ma bouche jusquà me donner un haut le cur et me faisant baver, alors que de son autre main, il tirait vers le bas mon menton, mimposant ainsi une ouverture complète de ma cavité buccale !
- Tu vas ten voir lorsque je vais fourrer ta petite gueule de lope, bien profondément !, me lançait-il
Je ne répondais rien, il se servait. Puis je passais vers cet homme un peu en retrait, carré dépaules, assez grand, plus âgé encore. Lui, baissait carrément et sans préambule, mon jockstrap à mi-cuisses, dévoilant ainsi ma nouille semi-molle au regard de toutes et tous, puis mempoignait les couilles en passant sa main par derrière
Il palpait et comprimait mes testicules chacun leur tour. Je sentais mes joues sempourprer, la honte menvahir à mexhiber ainsi devant une assemblée
- Couilles normales, mais son sac à burnes doit être étiré et beaucoup plus souple, jaime voir les salopes de son espèce avec les couilles bien pendantes
Lhomme se servait, javançais alors vers Martial Montambert.
- Te sens-tu minable, petite pute
Te rends-tu compte que tu nes rien dautre quune petite salope à utiliser !, dit-elle en me crachant au visage, son crachat dégoulinant doucement sur ma joue
- Tu as parfaitement cerné cette chose qui est à nos pieds, ma Chère Alice ! Rien dautre quun esclave à utiliser en effet, à formater même, à notre convenance, lui répondait cet homme qui avait baissé mon jockstrap.
- Je savais que jaurai ton approbation mon cher Gilbert, lui répondait-elle en riant à gorge déployée.
Pourquoi dès lors que je vivais lopprobre, ma queue systématiquement se mettait au garde à vous ? Pourquoi mon excitation montait en flèche ? Pourquoi séchappait instantanément de ma nouille ce fluide visqueux et incolore ? Plus jétais rabaissé, humilié, infériorisé, et plus mon corps et mon cerveau sembrasaient. La réponse me devenait si évidente, jétais né pour servir, pour être esclave, pour vivre ma véritable Nature servile
Et mon excitation mentale et physique ne faisait quexprimer cette réalité
- Tiens Gilbert, jai apporté le nécessaire pour lui faire les couilles !
- Merci Séverine
Séverine nétait autre que cette femme qui avait plongé sa main dans mon jockstrap. Elle me semblait particulière vicieuse, très attirée par mes attributs masculins. Elle tendait un objet métallique, sorti de son sac à main, à Monsieur Gilbert.
- Lève-toi, Mon chien, mains sur la tête, cuisses écartées !, mordonnait le Maître.
Monsieur le Marquis semblait très calme et appréciait sans nul doute de me voir ainsi asservi et malmené. Il me regardait attentivement, semblait laisser faire, tout en surveillant mes réactions. Séverine me délestait de mon sous-vêtement, puis semparait de mes couilles en les tirant vers le sol tout en disant :
- Vous avez vu comme cette chienne bande, cest vraiment une grosse salope !
Je ne connaissais pas ce dispositif en métal, épais de trois centimètres environ et lourd que Monsieur Gilbert me posait sur le scrotum
Il étranglait et tendait ainsi mes couilles en les maintenant au fond de mon sac. Je sursautais lorsquun repli de peau se coinçait dans la charnière verrouillant lobjet.
- Tire mieux encore sur ses couilles Séverine, je ne veux pas blesser ce chien inutilement, avec ce ballstrecher !
- Que pensez-vous de ces pinces japonaises pour orner les tétons de cette pute ?
- Belle idée Laurence !, sécriait Martial Montambert à cette femme qui mavait pincé les mamelons alors que je lui tendais le plateau.
La douleur était fulgurante mais très vite, je trouvais le juste équilibre entre plaisir et souffrance, jusquà cet instant ou ladite Laurence ajoutait un petit poids sur cette chainette reliant les deux pinces.
- Ce petit poids pour te décourager à trop bouger la pute !, me lançait-elle.
Pourtant, il me fallait bouger. Lhomme trapu, prénommé Etienne, appuyait sur mes épaules pour me faire pencher en avant
- Ouvre ton cul, salope
Mon cul était déjà bien ouvert, après le traitement subi ce matin même. Sans la moindre difficulté ce plug, assez large à la base, me pénétrait et sinstallait dans mon antre sans plus bouger dans mon fondement. Je me sentais veule, totalement démuni, totalement objet. Ces pervers Dominants me cassaient, me brisaient, maccablaient, méreintaient, alors que ma nouille restait imperturbablement raide, figée dans une érection incontrôlable, presque douloureuse, tant elle était puissante.
- Tu mérites bien un peu de champagne, après tout ce que lon te fait subir, la pute !
Monsieur Etienne renouvelait lopération à trois reprises, jusquà ce que son sexe soit dur, alors il me lenfilait profondément en bouche, allant toucher ma glotte, allant jusquà me donner des nausées et des envies irrépressibles de gerber.
- Ce nest pas de ce champagne quil lui faut !, lui dis Laurence en délogeant Monsieur Etienne de ma bouche.
La Domina mordonnait de me mettre à quatre pattes, alors quelle soulevait sa jupe étroite, laissant paraitre sa chatte parfaitement épilée.
- Mets-toi entre mes jambes, salope, tête relevée !
Son premier jet durine éclaboussait mon visage, elle réajustait sa posture et visait ma bouche. Par rapides saccades, elle inondait mon orifice buccal de son urine, ne me laissant guère le temps dingurgiter ce liquide chaud au gout amer et constant en bouche. Au même moment, mon plug était retiré, des mains mécartaient les fesses pour maintenir mon anus grand ouvert. Un homme, pissait sur ma raie, visant mon trou
Trempé, je subissais lavanie, loutrage ! Une autre chatte devant les yeux, celle-ci poilue, minondait encore, tandis que maintenant une queue dans mon cul me ramonait méthodiquement
. Jamais je navais imaginé une telle débauche !... Monsieur le Marquis sétait assis sur une chaise, face à moi et mobservait. Il avait baissé Son pantalon et caleçon à mi-cuisses. Il me regardait me dépraver en se masturbant lentement. Une de Ses mains allait et venait sur Son membre puissant aux veines saillantes, alors quavec lautre, il caressait Ses nobles testicules. De temps à autre, Son gland violacé faisait quelques soubresauts alors je lentendais gémir. Madame Alice me chevauchait, son sexe gluant se frottait contre mon dos. Elle se masturbait ainsi en polissant sa vulve et son clitoris contre mon échine. Elle râlait bruyamment laissant échapper un flot de cyprine odorante. Jhaletais, geignais, gémissais
hurlais même lorsque Monsieur Montambert memmanchait sans ménager sa fougue. Sa lourde et volumineuse bite se calait au fond de mes reins, ses couilles contre les miennes, je cherchais à me débattre pour échapper à ce chibre monstrueux. Mais cétait sans compter sur les autres Dominantes et Dominants qui me maintenaient, me giflaient et mhumiliaient sans cesse...
- Offre-toi la chienne, donne-toi salope !, entendais-je de part et dautre
Sodomisé ainsi avec mes couilles harnachées, tétons pincés, bouche toujours tenue et imposée grande-ouverte, je cédais, renonçais, abdiquais, abandonnais. Jétais vaincu, assailli de toute part, souillé par ces fluides intimes, foudroyé par ces va-et-vient démoniaques et incessants. Je sombrais dans les méandres de la débauche, de limmoralité et du vice et capitulais définitivement. Le seul moment de lucidité fut cet instant, lorsque Monsieur le Marquis éjaculait abondamment, par saccades successives sur ma chevelure et mon front et essuyait Son membre tumescent contre mes joues rouge écarlate
Pendant un long moment encore, alors que Monsieur le Marquis restait en retrait et après quon meut ôté cet écarteur de bouche, ces six Dominant(e)s mutilisaient sans concession. Ils massaillaient de toute part, membrochaient par la bouche et le cul, continuaient à me pisser dessus, à me cracher dessus, à me griffer, me gifler, à me posséder... Ma langue, sans répit, sactivait autour de ces clitoris et ces bites tendus, sur ces culs moelleux et soyeux que lon offrait sans une once de pudeur, sans la moindre retenu. Jétais là pour leur plaisir, pour les satisfaire pleinement
. Enfin javançais, enfin je renonçais, enfin je devenais cet esclave sexuel lubrique prenant plaisir à en donner, quel que soit le prix à payer ! Était-ce pour ma bravoure, mon courage que le Maître me récompensait ? Installé à quatre pattes, sur une table en verre, il me branlait énergiquement, sauvagement, douloureusement. Mes couilles lestées de ce ballstrecher battaient à chaque va-et-vient de cette main sur ma hampe dressée. Jéjaculais bruyamment en cambrant mes reins en offrant mon corps dénudé aux regards de ceux présents.
- Avale tes souillures mon chien !, mordonnait le Maître sitôt après que jai eu joui.
Je collectais ma semence de bout de ma langue et lingurgitais comme ordonné, tandis que Monsieur Etienne attrapa un entonnoir, lenfilant dans mon cul, empoigna une bouteille de champagne puis y déversa son contenu dans ledit entonnoir en sexclamant à lassemblée :
- Il est bon de concocter une bonne mixture en mélangeant du bon champagne à notre semence, dans ce bon cul de putain !... Bref, champagne à volonté !... mais celui de cette mixture est réservé exclusivement à cette bonne salope !, conclue-t-il alors que je sentais couler le nectar à bulles entre mes entrailles
(A suivre
)
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